Courriel de M. G Lemaire
Courriel de M. G. Lemaire
Courriel de M. G Lemaine du 13/04/2011
Veuillez trouver ci-joints deux articles que je viens de découvrir tardivement dans la dernière Gazette de Nîmes :
- - Un article intitulé « la guerre des polices » où monsieur Tibérino ne semble pas vivre quotidiennement la bonne coopération avec la
police nationale qu’il décrivait devant notre assemblée lors de sa dernière causerie sur la sécurité à Nîmes. Pour le cas, il se plaint du retard apporté par cette dernière à notre police
municipale, récemment bien mal en point face à des émeutiers au stade Marcel Rouvière.
- - L’article succinct relatant l’agression de monsieur Cabane placé en page intérieure rubrique « faits divers ».
J’adresse à ce journal pour sa rubrique courrier des lecteurs la réponse suivante. La publication n’est pas garantie…
G. LEMAIRE
Un court article dans votre parution du 7 au 13 avril rend compte en page 15 d’un « fait divers » concernant notre quartier de Villeverte. Une vingtaine de lignes laconiques sortie d’une main
courante pour signaler qu’une équipe de cambrioleurs a été surprise par un « propriétaire ». S’ensuit la poursuite dans le jardin où l’un des malfrats « jette une pierre au visage de celui-ci, le
blessant à l’œil». Ils parviennent à s’enfuir avec une TV. « L’homme » est transporté à l’hôpital Lapeyronnie.... La Gazette n’en sait sans doute guère plus pour relater ce qui est un fait
divers mais aussi un drame pour une famille, car notre ami est âgé et risque bien d’y perdre un œil. Il a une grave fracture à l’arcade sourcilière. Nous n’évoquerons pas le choc émotionnel.
C’est un drame aussi pour nous tous parce que nous le connaissons et l’apprécions beaucoup. Nous le savons attentif envers les autres et exempt de toute agressivité. Il a été président de notre
comité de quartier. Il nous manque, on l’opère actuellement, le résultat est incertain.
Jusqu’à présent nous nous étions presqu’habitués à subir un à deux cambriolages par semaine, mais maintenant une limite semble avoir a été franchie avec cette agression. Puisse ce court éclairage
témoigner de notre émoi et de notre indignation pour ce « fait divers » qui s’ajoute à nombre de ces souffrances quasi-ignorées, face auxquelles notre société trouve vraiment peu de réponses.
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