e-mail de Monsieur Peyre
courrier des habitants de Vlleverte Est
PEYRE
M. Gérard Peyre
116 Impasse de Villeverte
La Thymallière
30900 Nîmes
mardi 7décembre 2010
Les éternels oubliés de Villeverte
Notre quartier se situe au nord-ouest de Nîmes en garrigues, c’est un quartier très agréable Malheureusement nous sommes les sempiternels oubliés de l’administration sauf pour l’imposition.
A) Nous souhaitons évoquer la mise en place d'un transport en commun Paratonnerre, Chemin de la Préfecture, Ancienne Route d'Anduze.
La communauté urbaine permet aux habitants des villages de se déplacer aisément. Mais nous les Nîmois de Villeverte on nous oublie.
Le taxi bus que nous avions alors demandé ne nous rend pas vraiment service car mal organisé . Nous avons remarqué le passage de Minibus chemin de la Cigale prolongé. Les chemins évoqués plus
haut sont au moins aussi larges. Ils ne bénéficient pas du même privilège et le nombre potentiel de personnes (de plus en plus âgées) y est supérieur.
Pourrions-nous ensemble étudier la faisabilité de cette proposition.
Nous vous prions de bien vouloir étudier ce problème favorablement.
B) Nous demandons désespérément depuis plusieurs années la mise en place d'un mur anti bruit le long de l'impasse de Villeverte et vis à vis sur le chemin des Crécerelles ainsi qu’Ancienne Route
d’Anduze. Mais rien ne vient.
Pourtant sur l’avenue Marc Boegner et sur l’avenue des Français Libres il ya des murs ayant une destination identique.
Mais peut-être juge-t-on que notre système auditif n’est pas aussi sensible que celui de gens de la ZUP.
C) Les travaux faits en aval du pont de la RN 106 qui enjambe l'Ancienne Route d'Anduze, ont montré leur efficacité. Par contre en amont de ce pont, une emprise a été prévue après le 2 octobre
1988. Entre ce Pont et celui qui mène au chemin de Villeverte. Résultats: la route se dégrade et lors des pluies torrentielles que nous connaissons à Nîmes, nous ne pouvons pas sortir de chez
nous. Il faut savoir que le bassin de rétention ne nous protège pas.
1) Nous avions demandé avant la mise en place du Pont auprès des services de l'Equipement avec l'aide avec l'aide de l'ingénieur du service des eaux de la Mairie de l'époque, la mise en place
d'une buse sous le dit pont de 3,60 m² car il n'avait été prévu que 2 buses de diamètre 0.80 m. Après une discussion "un peu houleuse" entre les parties, les ingénieurs de l'Equipement, ont
reconnu qu'ils avaient tenu compte du bassin versant du camp des Garrigues, mais avaient tout simplement omis de tenir compte des 15 km² du bassin versant de Gajan. Ils ont donc installé une buse
de 2,00m² qui s'est révélée insuffisante en 1988.
2) Il a alors été demandé au cabinet Merlin de Lyon de procéder à une étude générale sur ce secteur en particulier. Pour ce point l'étude a prévu de mettre en place au centre du pont une buse
supplémentaire de 1,60 m². (j'en ai eu la confirmation par un ingénieur de Merlin)
3) J'évoquais plus haut la moindre efficacité du bassin de rétention. Sur la droite de la Route d'Anduze existait un grand trou qui nous protégeait tant bien que mal des inondations dues aux
fortes pluies. Ce terrain appartenait à Monsieur Dobchef celui-là même qui a vendu les terrains qui ont servi à l'implantation des Hauts de Castanet. A cette époque-là le chantier de l'Autoroute
Nîmes-Gallargues était en construction et ce propriétaire a proposé à L'Equipement de boucher ce bassin de rétention naturel par les énormes déchets provenant de la traversée de la colline entre
Nîmes et Milhaud (dans le but de construire une station-service, comme celle "Ville et Forêt" qu'il a réalisé sur la route de Sauve pensant que la RN 106 longerait son terrain) d'où les
inondations catastrophiques que nous subissons tous les 5 et 10 ans au lieu de tous les cinquante ans, d'autant qu'avec les changements de climat la fréquence et la dangerosité s'accroît . Il
faut savoir aussi que pour la défense des services municipaux, ils attendent que la SNCF crée un nouveau passage "hypothétique" chemin de Villeverte ancienne Route d'Anduze.
D) Nous avons des problèmes concernant l’internet. Cela ne peut pas durer ainsi ! La région a déclaré qu’il n’y aurait plus de zones d’ombres dans la Région Languedoc-Roussillon.
Nous désirons nous aussi bénéficier du « très haut débit »
Nous désirons évoquer les difficultés de trouver preneur lorsque nous sommes obligés de vendre ou de louer un bien.
Nous nous considérons comme citoyens à part entière et nous sommes en droit de bénéficier des mêmes droits que tous nos concitoyens d’autant que nous en assumons nos devoirs comme tout un chacun
(le niveau des impositions qui nous sont demandés nous le rappelle constamment)
Merci de m'avoir lu jusqu'au bout.